P'tite Promenade ... [PV Shinaru]

Kioko décida d'aller visiter le pensionnat, après son arrivée. Le premier lieu où elle voulait aller, était le jardin. Toutes ces fleurs, ces arbres, toute cette verdure. Elle se sentait apaisée, ... C'était bien en ces lieux la qu'elle se sentait le mieux.

Tout en marchant, elle aperçut quelques pensionnaires, profitant eux aussi du beau temps d'aujourd'hui car, hier il peuvait. Le soleil était haut et aucun nuage à l'horizon. Kioko chercha alors un lieu où il n'y avait pas de monde. Elle trouvat un petit coin à l'ombre d'un arbre et un petits plans de fleurs juste à côté d'une grande fontaine. Cette fontaine était vraiment belle, des reflets blancs l'éclairaient. Kioko bien qu'à un mètre de celle-ci sentait de l'humidité. Les oiseaux étaient en harmonie. C'était parfait, pas une personne en vue.

Kiko-chan s'assit alors sur le banc à l'ombre de cet arbre, prit ses aises et regardat le ciel pensive. Elle pensait à tous et à rien. A sa famille qui lui manquait énormément et à cette nouvelle vie dans ce pensionnat. A ces nouvelles rencontrent Shinaru, MOmoka et Tatsua.
Kioko pensa soudain que Shinaru lui ressemblait plus que Momoka et elle avait l'impression de la connaître depuis longtemps.
Soudain elle se leva, s'accroupit devant une des fleurs.

"Et toi que pense tu d'elle ?"

Il y eut un petit silence, Kioko se concentra pour capter la réponse de son interlocuteur végétal.
Kioko fit une grimace agacée et sortit :

"Je deviens folle, je parle à une plante !"

Mais une personne approchait, elle avait surement dû la voir parler à la plante. Kiko-chan se retourna, elle se demandait ce qu'elle allait bien faire...

Shinaru vagabondait depuis quelques minutes maintenant à travers le jardin fleuri. Elle voulait profiter un maximum du beau soleil qui ne tarderait surement pas à disparaitre à nouveau. Shinaru était une jeune fille qui adorait sentir la chaleur des rayons sur son visage, avoir les cheveux reflétant l'agréable lumière, entendre les oiseaux chanter leur bonheur... Elle se demandait même comment certaines personnes faisait pour s'en passer.

Puis, en déambulant à tout hasard, elle se retrouva nez à nez avec une splendide fontaine. La couleur gris claire de ses pierres ainsi que celle translucide de l'eau mélangées aux rayons du soleil éblouissaient Shinaru.

Légèrement aveuglée, elle tourna la tête et aperçu une jeune fille accroupie dos à elle. Cette silhouette lui semblait familière, si bien que Shinaru décida de s'avancer. N'étant plus qu'à quelques mètres de cette personne, elle réussit enfin à la reconnaître. C'était son amie Kioko. Celle-ci était devenue sa deuxième colocataire depuis peu. Shinaru ne la connaissait pas vraiment mais elle pensait tout de même que c'était une fille discrète mais très gentille.

Shinaru se posta derrière son amie toujours accroupie. Elle était face à un fleur ce qui intrigua Shinaru.

" Alors Kioko ? Il parait que les fleurs sont de bonnes interlocutrices, c'est vrai ? "

Kioko se releva toute génée de devoir s'expliquer sur le faîte qu'elle parlait à une fleur. Elle se retourna et se trouva devant Shinaru.

* Ouff, se n'est que Shinaru*, pensa t-elle.

Shinaru était toute d'une grande beauté, elle était habillée d'une chemisette fleurie et d'une jupe courte. Elle avait comme le premier jour où Kioko l'avait vu, les cheveux attaché en deux couettes très ravissante. La coiffure de Shinaru, lui paraissait tout à fait familière. Après avoir réfléchi 2 minutes, Kioko se souvint que sa grande soeur avait la même coiffure qu'elle à part Kitsume avait toujours une barrette en forme de tête de mort dans les cheveux. Kioko se souvint aussi que le jour de son anniversaire Kitsume lui avait acheté la même mais de couleur bleu. Ce jour là, avit était un des meilleurs qu'elle avait put passer avec sa famille.

" Heu, oui ... mais bon je n'ai pas pu déchiffrer son langage ... à croire que je n'ai pas reçu ce don là ! "

Shinaru la regardait avec une extrême gentillesse. Alors Kioko poursuivie :

" La dernière fois que nous nous sommes vus, nous n'avons pas pu parler beaucoup ... D'où viens-tu ? "

Shinaru la regardait toujours mais cette fois Kioko la sentit gêner par la question. Kioko était tellement affolé par la peur d'avoir été indiscrète ou que cette question évocait un sujet douloureux pour Shinaru. Après tout qui était Kioko pour la questionner ainsi ? Shinaru a dû avoir des problèmes dans sa ville natale ou ... Elle se précipita d'ajouter :

" Désolé, Shinaru tu n'es pas oubligé de répondre à ma question ... je suis trop curieuse..."

La jeune fille la coupa

Le rire clair et mélodieux de Shinaru retentit après que Kioko ait répondu à sa question. Après s'être un peu calmée, Shinaru finit par répondre:

" Quel dommage ! On ne pourra jamais savoir ! "

Shinaru était décidément de très bonne humeur ce jour là. Et comme d'habitude, Shinaru se mit à rire. Elle riait souvent pour par grand chose mais ça ne semblait pas la gêner, au contraire même. Et puis comme on dit: Il vaut mieux rire que pleurer.
Kioko, qui s'était maintenant relevée et avait observé Shinaru de la tête au pied ce qui ne l'avait pas dérangé, avait l'air pensive.

* A quoi peut-elle bien penser ?* s'interrogea-t-elle.

Elle avait envi de lui poser la question mais se retint toute fois de le lui demander pensant que ça ne la regardait. Pourtant, Shinaru était une fille très curieuse de nature mais elle savait qu'il y avait des choses à ne pas demander à des personnes. Peut-être que était-ce à cause de son éducation qu'elle avait cet état d'esprit. Ses pensées vagabondes furent intérrompue par une question soudaine que Kioko posa soudainement. D'où venait-elle ? Shinaru eu un moment d'hésitation. Après tant d'efforts, elle ne pouvait pas avouer toute la vérité comme ça ! Elle opta pour une réponse simple en espérant que cela suffirait à Kioko:

" Ne t'inquiète pas, ça ne me dérange pas du tout. Je sais que la curiosité est une chose qui est difficile à mettre de côté, elle rit encore une fois. Je viens d'une assez grande ville très lointaine. Et toi ? "

La question gênait vraiment Kioko qui savait un peu d'où elle venait, mais vait très peur que Shinaru prenne peur quand Kioko lui aura avoué la véritée. Elle hésita longtemps.

* Bon aller je me lance car je dois lui faire confiance et si c'est une vraie amie elle ne me laissera pas tomber ... *

" Heu, tu crois au paralormal ? "

Shinaru pour toute réponse hocha la tête timidement.

" Ben, voilà je ne suis pas une humaine ... je viens de la lune en fait. "

Elle hésita à poursuivre mais Shinaru était toujours aussi joyeuse alors elle continua.

" Il paraît que je suis une Shurotsuki, j'ai donc un pouvoir le mien est celui de la foudre. J'ai été découverte par un couple de botanistes une prairie entourée d'une bulle de lumière. Alors ils ont voulut m'adopter. Mais ils savaient que je n'étais pas une fille normale.
Ma mère avait déjà eu un enfant mais elle perdu petit à petit l'envie d'en faire d'autres.
Ma soeur était gentille avec moi même si on se disputait souvent. Elle s'appellait Kitsune et portait toujours la même coiffure que toi ... Puis plus tard au cours d'un accident j'ai découvert mon pouvoir. J'ai eu si peur que je me jura de ne plus jamais revenir à la maison."

Kioko était épuiser, d'un côté elle sentait vraiment soulager de raconter sa peine à sa nouvelle amie. Fatiguée, elle s'effondra sur l'herbe tout en larmes.

" Si je te parle de ma famille au passé c'est que ils sont tous ... Morts ... dans un acc ... cident ... Très terrible ... Voici la dernière lettre de ma famille..."

Elle sortit la lettre et la montra à Shinaru qui était désespéré par la vue de voir son amie pleurée. Shinaru lut :

°Ma chère fille,
Tu es partie si brutalement et je ne sais pas pourquoi !
Nous nous inquiétions pour toi mais par des gens nous avons apris que tu étais partie dans un pensionnat nommé Chuugaku Tsuki ...
Quand tu étais petite, nous savions que tu n'étais pas normale je voulais t'emmener dans ce pensionnat mais ta mère m'y avait défendu...
J'espère que tu es heureuse là-bas ... Tu seras toujours notre fille et nous te gardons dans le coeur. J'espère aussi que tu contrôles ton pouvoir ...

Sache que l'on pense à toi je t'aime.

Papa, Maman et Kistune. °

Kioko pleurait toujours.

C'était trop de révélations en moins de deux minutes! Shinaru ne savait pas comment réagire. Voilà que Kioko venait de la lune, qu'elle contrôlait la foudre, qu'elle avait une histoire très compliquée avec sa famille... Shinaru avait de mal à encaisser tout ça. Que dire ? Que faire ? Fallait-il qu'elle soit triste, compatissante, désolée d'avoir posée cette question, ou bien tout ça à la fois ?
Elle tendit la lettre qu'elle avait fini de lire à Kioko sans rien dire. Dure à encaisser tout ça. Shinaru croyait au paranormal mais quand même... Jamais elle aurait pensé que des "extraterrestres" seraient arrivaient sur Terre il y a plus sieurs sans que la population en soit prévenue... Finalement, Shinaru se lança avec une petite voix et un sourire forcé:

"Waow. Hum... C'est.... Waow ! "

Malgré ses efforts, aucun autre mot ne sortait. il faut la comprendre: Une simple humaine, ayant ses propres convictions, qui a vécu une vie à peu près normal, avec des hauts et des bas... Et voilà que sa colocataire était une << Shurotsuki >>. Sa bonne humeur avait presque disparue. On ne pouvait pas dire qu'elle était triste, juste...surprise.
Les yeux ronds comme des billes, on pouvait presque penser que, si elle ne respirait pas, Shinaru était en réalité une statue. Elle aurait bien voulu faire quelque chose, émettre un son, n'importe quoi ! Mais rien ne vanait, le vide total...

Kioko était toujours assise sur l'herbe, elle continuait à pleurer. Elle pensait à sa famille qui lui manquait. La nature avait saissé de bouger, il faisait toujours chaud mais les oiseaux ne chantaient plus gaiment. On aurait dit que le jardin se lamentait de la tristesse de Kioko les seules parole de Shinaru avait été : "Waow. Hum... C'est.... Waow ! "
Kioko avait été un peu blesser par ses paroles car elle voulait se mettre à la place de Shinaru mais elle ne put pas. Elle voulait savoir que se disait-elle au fond, avait-elle peur ?
Kioko d'une main essuya ses larmes et se calma, mais dès qu'elle repensait à sa famille des larmes s'écoulèrent sur ses joues sans que Kiko-chan ne put les arrêter ! Ses souvenirs la hantèrent, elle était désesprérée. Elle repensait à tous les souvenirs qu'elle avait eu avec sa famille. Elle avait peur de son nouveau pouvoir et voulait réussir à le contrôler.

Au bout de quelques econdes, Shinaru se réveilla enfin. Elle s'aperçue immédiatement des larmes de Kioko seulement elle ne savait pas comment la calmer. elle n'avait jamais était très douée pour ce qui était de réconforter quelqu'un. Elle s'approcha doucement de son amie et, comme elle ne voulait pas la laisser dans l'herbe, elle attrapa ses mains et la tira afin de la relever. Elle sorti ensuite un mouchoir blanc d'on ne sait où et s'en servit pour essuyer les larmes qui réapparaissaient encore et encore. C'est alors que, très compatissante et avec beaucoup de tendresse dans la voie elle dit:

" Héé ! Me fais pas cette tête là ! Il fait un temps superbe aujourd'hui ! Tu crois pas qu'on devrais d'amuser plutôt que de repenser au passé ? "

On aurait presque dit une jeune fille qui faisait tout ce qu'elle pouvait pour redonner le sourire à sa petite soeur. Maintenant que Shinaru avait terminé de parler, elle pretta un peu attention à ce qui les entourrées toutes les deux. Les oiseaux s'étaient remis à chanter et le soleil brillait encore plus fort.

Shinaru s'en voulait tout de même un peu de sa première réaction mais elle n'osa pas s'excuser pour ne pas retomber sur le sujet. D'un certain côté, elle enviait Kioko. Tout le monde n'avait pas la chance de posseder un pouvoir spéciale. Shinaru se demanda même si Kioko ne ressemblait pas à un nouveaux genre de super héro...

[dsl du retard]

Surprise, Kioko sentit les mains de Shianru la porter vers le haut, elle se sentit soulever. Kioko se laissa faire. Elle se retrouva dans les bras de Shinaru. Elle sentit son parfum, il était frais et sucré. Kioko avait déjà sentit se parfum quelque par... Shinaru avec gentille lui passa la main dans les cheveux. Cette action lui fit penser à sa soeur... Maintenant Kioko se souvenait, se parfum était celui des cerisiers fleuris au printemps. Quand elle était petite Kioko avait l'habitude de courir dans le champs, non loin de chez elle, là bas il y avit quatres cerisiers et plus grand au milieu. Kitsune lui racontait des hisoires à l'ombre de cet arbre. La vois fleuris de Shinaru la sortit de ses rêveries. Telle une grande soeur Shinaru essuya gentiment les larmes qui coulaient toujours aux yeux de Kioko.

-Merci...merci...Shinaru..., arriva t-elle a articuler entre deux sanglots.

La jeune fille se détacha lentemnt de son étreinte avec son amie. Elle passa furtivement la main sur ses joues et adressa un petit sourire reconnaissant pour Shinaru.
Pour la première fois depuis la mort de ses paents, Kioko avait sourit avec franchise. Elle se sentit délivrer d'un lourd secret. Son coeur était léger et son âme était reconnaissante envers cette humaine, Shinaru.

" Aller viens ! Il fait beau aujourd'hui et il faut en profiter ! "

Shinaru décida de ne plus faire halusion à ce qui venait de se passer. C'était peut-être pour elle un moyen de fuir. C'était sans-doute la décision des lâches mais, ce qui venait d'arriver à Shinaru était pour elle trop dur à encaisser. Shinaru était une fille forte en apparence mais en réalité, Elle ne voulut pourtant pas se l'avouer.
La jeune fille n'avait jamais aimé voir quelqu'un pleurer et ça n'aller pas changer maintenant ! En revanche, elle savait toujours comment faire pour empêcher les larmes de couler. Shinaru s'empara de la main de Kioko et l'entraina un peu plus loin pour mieux recevoir le soleil sur son visage. Il se faisait rare ces temps-ci, et donc Shinaru voulait en profiter un maximum. Et puis, un rayon de soleil suffisait à lui rendre sa bonne humeur habituelle.

" Alors ! Qu'est ce que tu veux faire ? Il y a un tas de choses à faire ! Dis moi ce dont tu as envie et on le fait ! "

[ désolée je suis (très) en retard et je n'ai aps eu beaucoup d'inspi' ]